Il est traditionnellement admis que l’arrivée du printemps est synonyme de bonnes nouvelles.
Tel a dû être le ressenti de cette victime encore appelée fille du distilbène à la lecture de la décision de la Cour d’Appel de Versailles rendue le mois dernier (CA Versailles, 08-03-2018, n° 17/04793) .
En effet, pour la première fois, la Justice a afin reconnu le lien entre la prise du distilbène et le préjudice d’anxiété ressenti par la victime.
Cette malheureuse victime a ainsi touché la modique somme de 15 000,00 €au titre de son préjudice d’anxiété.
Je suis à votre disposition pour toute action ou information.
Moussa Koné
Avocat au Barreau de Boulogne-sur-Mer
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